« L’étau fiscal va venir à bout des familles de Mirabel »
Selon Sylvie D’Amours, les récentes annonces du gouvernement libéral sont en train de détruire la classe moyenne de la région de Mirabel.
L’accumulation des mauvaises nouvelles pour les travailleurs est plus que sérieuse : augmentation des taxes municipales et scolaires, des tarifs d’hydro-électricité, jumelée à la disparition de l’expertise locale en création d’emploi, conséquence de la diminution des budgets pour le développement économique, notamment dans les Centres locaux de développement (CLD).
Maintenant, le dernier ballon d’essai en liste, on assiste à l’augmentation et à la modulation des tarifs de garderie et des frais de service de garde.
Rappelons que le Parti Québécois avait eu la mauvaise idée d’augmenter les frais de garderie lors de son court et désastreux passage au gouvernement. Malheureusement, les libéraux ont eu l’étrange idée de poursuivre dans l’alourdissement du fardeau des travailleurs.
« Les ménages n’ont pas fini de payer la rentrée scolaire qu’on leur annonce des augmentations des frais de service de garde et des tarifs de garderie. Nous devons regarder ces nouvelles mesures de façon globale et de leurs impacts négatifs et inquiétants sur les ménages du Québec. Sincèrement, j’ai beaucoup de difficulté avec ça » affirme la députée.
« Les parents qui font confiance aux services de garde et aux garderies le font pour aller travailler, pour augmenter leurs revenus, pour créer de la richesse. C’est un mauvais message à envoyer aux familles du Québec que de réduire les incitatifs à intégrer le marché de l’emploi » poursuit-elle.
« Nous entendons de plus en plus de parents se demander si le choix d’aller travailler tous les deux est encore le bon. C’est la conséquence directe de la politique fiscale désastreuse des gouvernements libéral et péquiste » plaide Sylvie D’Amours.
D’ailleurs, pour payer le fardeau fiscal, le gouvernement fragilise le principal acteur de développement économique en région, soit les CLD. La Coalition Avenir Québec considère leur expertise comme une ressource plus que nécessaire à l’accroissement de notre économie et nous devons leur donner les moyens de faire une différence sur le terrain.
La députée poursuit : « Dans le programme que nous proposions à la Coalition, nous savions vers où nous allions. Nous avions à penser à demain et aux conséquences de ce que nous proposions. Visiblement, ce n’est pas le cas des libéraux et des péquistes. Ils manquent de vision et c’est loin d’être à l’image de la région de Mirabel. »
Source: Bureau de la députée de Mirabel
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