Le Boisbriannais Yann Gobeil-Nadon élu président de la relève de la CAQ

Par Salle des nouvelles
Le congrès de la relève de la Coalition Avenir Québec qui se tenait en fin de semaine à Victoriaville aura été l'occasion pour près de 250 jeunes, dont une vingtaine de la circonscription de Groulx, de débattre d'idées enrichissantes et d'élire le nouveau conseil exécutif des jeunes de la relève.
C’est un résident de Boisbriand soucieux de l’engagement civique, Yann Gobeil-Nadon, 24 ans, qui a été élu à titre de président, prenant ainsi la relève de David Raynaud. Au total, 14 postes étaient à combler, alors qu'une vingtaine de jeunes se sont présentés à titre de candidats.
Rappelons que ce résidant du comté de Groulx, Yann Gobeil-Nadon, a effectué ses études collégiales au Collège Lionel-Groulx avant d’entreprendre des études en Administration à l’UQAM. Ce jeune entrepreneur de la région a de plus œuvré au bureau de comté du député de Groulx, Claude Surprenant, au développement des liens avec les organismes jeunesse des villes de Blainville, Boisbriand, Sainte-Thérèse et Rosemère lors de la dernière saison estivale.
Claude Surprenant mentionne à cet effet : « Je suis fier qu’un jeune leader tel que Yann, qui croit fortement à l’avancement du Québec, devienne le porte-parole officiel des jeunes de la relève au sein de la Coalition Avenir Québec. Les jeunes seront brillamment représentés et entre de bonnes mains avec lui », soutient le député.
Plus d'une vingtaine de résolutions portant sur l'éducation, la gouvernance et les institutions démocratiques, l'équité intergénérationnelle et le travail ainsi que sur l'environnement ont été débattues au cours du congrès.
Parmi celles qui ont été amendées, plusieurs ont fait l'objet de discussions intéressantes. Les jeunes veulent notamment rendre l'orientation obligatoire au Cégep et instaurer des contrats de réussite pour les étudiants qui sont en situation d'échecs répétés au collégial. Ils souhaitent aussi améliorer la gestion des classes dans les milieux défavorisés, notamment en diminuant le nombre d'élèves maximum par groupe.
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