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Ancien Salon funéraire Goyer à Sainte-Thérèse: la communauté d'affaires souhaite un projet économique et social

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5 février 2015
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Eric Mondou
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Par Eric Mondou, Journaliste

Dans la foulée de la controverse portant sur le cabaret-théâtre au centre-ville de Sainte-Thérèse, la Chambre de commerce et d’industrie Thérèse-De Blainville (CCITB) a réitéré l'importance d'un projet économique qui donnera une nouvelle vocation à l'ancien Salon funéraire Goyer.

Faut-il le rappeler, la CCITB, par l'entremise du Groupement des entreprises de Sainte-Thérèse, s'était montrée favorable au projet de l’administration de la mairesse Sylvie Surprenant, qui consiste à acquérir l’ancien Salon funéraire Goyer, situé sur la rue Turgeon, afin de le convertir en salle de spectacle.  

Le réseau des gens d’affaires «invite tous les intervenants à se concerter afin d’identifier les pistes de solution qui permettront de revitaliser et de diversifier l’offre commerciale et culturelle du territoire».

« Nous serons à l’affût des solutions stratégiques et porteuses de vision qui seront apportées quant au futur de l’immeuble de l’ancien salon funéraire Goyer », a affirmé Samuel Bergeron, président de la CCITB.

L'administration municipale de Sainte-Thérèse souhaite convertir le bâtiment en cabaret-théâtre. Les spectacles présentés par le diffuseur Odyscène à l’église Sacré-Coeur y seraient relocalisés.  

Le projet a soulevé l’ire de plusieurs citoyens. Plus de 600 d’entre eux ont d’ailleurs dit non au règlement d’emprunt de 2,94 M$ en allant signer le registre la semaine dernière, forçant ainsi le conseil à tenir un référendum s’il souhaite aller de l’avant.

Les élus ont jusqu’au 2 mars prochain pour décider s’ils tiennent ou non cet exercice démocratique.   

 

commentairesCommentaires

2

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  • GC
    Gérald Charbonneau
    temps Il y a 10 ans
    Que la communauté d'affaires trouve un investisseur privé si elle croit le projet rentable. Ce n'est pas le rôle d'une municipalité d'investir dans ce genre d'aventures. Elle n'y gagnerait rien, mais y perdrait les revenus de taxes qu'elle retire présentement.
  • R
    Renée
    temps Il y a 10 ans
    Ce n'est pas à la ville d'acquérir cette bâtisse mais plutôt à quelqu'un d'indépendant qui n'a rien à voir avec la ville. Nous ne voulons pas payer avec nos taxes l'entretien et tout cela que ça comporte.

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