Prix Gaston-Miron
Les Laurentides soulignent la promotion de la langue française
La Société nationale des Québécoises et Québécois des Hautes-Rivières (SNQHR), la Société nationale des Québécoises et des Québécois, région des Laurentides (SNQL) et le Mouvement Québec français des Laurentides (MQFL) ont remis, dimanche, les Prix d'excellence en français Gaston-Miron.
Lors de cette quatrième édition, ces prix ont été remis à des personnes, des entreprises ou des organismes qui se distinguent par leur contribution à la promotion de la langue française sur le territoire des Laurentides.
Marc Sauvageau, artiste multidisciplinaire, s'est mérité un prix dans la catégorie individu. C'est son travail "Le marchand d'idées", cherchant à éveiller les élèves du primaire et du secondaire de 14 écoles à la poésie des mots, qui lui a permis de le recevoir. Dans cette même catégorie, un prix coup de cœur a été décerné à l'artiste Pascale Dupré pour son œuvre "L'Arbre à mots".
L'Association des auteurs des Laurentides a brillé dans la catégorie organisme. Son projet d'écriture "Histoire d'été 2, les trésors de mon village", sous la supervision de l'auteur Frédérick d'Anterny, a contribué à remporter la palme. Le coup de cœur de cette catégorie revient aux Francopolys de la polyvalente de Saint-Jérôme.
La remise des prix est possible grâce à un travail conjoint entre le MQFL, la SNQL et la SNQHR. Ces trois organismes souhaitent souligner les efforts pour l'épanouissement du français dans la région. Emmanuelle Miron, fille du poète Gaston Miron, a accepté que ce prix porte le nom de son père, célèbre poète national provenant des Laurentides.
Les organisateurs ont déjà en tête la cinquième édition, à la suite du succès de cette quatrième édition.
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