Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Traduction et adaptation de contenu technique : quelles différences ?

durée 13h19
5 octobre 2017
ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante

Article commandité

Il existe différentes techniques de traduction de document. Le choix d’utiliser l’une d’entre elles au détriment des autres, ou bien de combiner plusieurs techniques, dépend de plusieurs facteurs. En effet, les options offertes aux traducteurs seront différentes selon le type de texte, le lectorat cible, l’objectif du document, et bien entendu son contenu, son style et le vocabulaire employé.

La traduction technique, ou traduction spécialisée consiste à traduire des textes propres à un art, une science, une activité, un savoir-faire spécifique, ou bien au mode de fonctionnement d’une machine ou d’un objet. Outre des connaissances linguistiques et traductologiques classiques, ce type d’exercice nécessite un véritable savoir dans le domaine technique concerné.

Le travail de traduction de contenu technique comprend la traduction de notices, fiches produits, cahiers des charges…mais peut aussi inclure la traduction de documents juridiques, informatiques, commerciaux, ou encore en rapport avec le domaine médical.

L’adaptation

L’adaptation est une technique de traduction par laquelle on remplace un élément culturel par un autre, propre à la culture réceptrice.

Cette technique de traduction est très fréquemment utilisée dans le cadre de la traduction d’annonces publicitaires, de slogans, ou encore de textes dramatiques, pour ne citer que quelques exemples. En effet, ces secteurs utilisent des procédés de langue, des phrasés et des expressions complexes et propres à chaque culture.

Le plus important dans la traduction de contenu culturellement marqué reste le sens du message et la communication. Le traducteur procède donc à des aménagements au niveau du style, du contenu ou des références culturelles.

La traduction pure

La traduction pure consiste en la conversion d’une langue vers une autre. Non pas d’une conversion mécanique des mots, une véritable traduction requiert une compréhension complète et parfaite du texte original.

La traduction est toujours une sorte d’adaptation. Cependant dans le cas de contenu technique, celle-ci doit être limitée, afin de respecter la précision et la pertinence du document de départ.

Pour veiller à la qualité de la traduction de ce type de contenu spécialisé, il est conseillé de faire appel à une agence de traduction professionnelle proposant des services sur mesure dans le secteur technique.

Ces professionnels utilisent des logiciels spécifiques de mise en forme des textes à caractère technique, disposent de banque de données de vocabulaire par domaine de spécialisation, et d’équipes de traducteurs offrant de véritables connaissances dans ces secteurs.

La traduction de contenu technique va combiner adaptation et traduction pure, pour s’adapter au mieux au texte et au lectorat cible.

commentairesCommentaires

0

Pour partager votre opinion vous devez être connecté.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


Publié à 15h00

L'opinion des Canadiens à l'égard des États-Unis rejoint celle à l'égard de la Chine

Après des mois de droits de douane et de moqueries de la part du président américain, Donald Trump, un nouveau sondage suggère que le pourcentage de Canadiens ayant une opinion favorable des États-Unis a diminué et est désormais comparable à celui des Canadiens ayant une opinion positive de la Chine. L’enquête du Pew Research Center indique qu’un ...

Publié à 12h00

Des avis concernant la qualité de l'air et la chaleur restent en vigueur au pays

Des avis météorologiques spéciaux sur la qualité de l'air causés par la fumée des feux de forêt restent en vigueur dans de nombreuses régions du pays, et à certains endroits, la chaleur est aussi de la partie. Une grande partie du centre du Canada, du Manitoba et de la Saskatchewan a été placée sous alerte ou avertissement spécial concernant la ...

Publié hier à 12h00

Les Québécois repensent leur consommation d’alcool, révèle un portrait des habitudes

Les Québécois repensent leur consommation d’alcool, non pas pour se priver, mais pour mieux choisir. C’est ce que révèle «l’Indice A3», qui brosse le portrait des habitudes et des préférences des consommateurs grâce aux résultats d’un sondage Léger commandé par A3, un regroupement de 85 agences de vins, de bières et de spiritueux. «Les habitudes ...