Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Le NPD investira dans les infrastructures et le transport en commun pour améliorer

durée 14h39
16 septembre 2015
ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
email
Par Salle des nouvelles

Les candidats du Nouveau parti démocratique (NPD) dans les Basses-Laurentides se sont engagés lundi à répondre aux besoins des entreprises et à améliorer la productivité, en réalisant d’importants investissements en infrastructures et en transport en commun.

« Ça fait bien trop longtemps que les municipalités doivent pratiquement se débrouiller toutes seules pour réduire les embouteillages sur leurs réseaux routiers et apporter des améliorations majeures dans leur système de transport en commun, a indiqué Laurin Liu, députée sortante et candidate dans Rivière-des-Milles-Îles. On a bien vu ce que ça donne. Par manque de ressources, nos ponts et nos routes se délabrent petit à petit et les temps de déplacement ne cessent d’augmenter. Au NPD, nous savons que nous pouvons faire mieux. »

« Au Canada, il y a un déficit de 200 milliards de dollars dans les infrastructures, a souligné pour sa part le candidat néo-démocrate dans Thérèse-de-Blainville, Alain Giguère. Nos régions ne sont pas en mesure de répondre aux besoins alors que notre population est en croissance. Cette situation est particulièrement pénalisante dans Thérèse-de-Blainville qui compte beaucoup de jeunes familles. Il devient nécessaire de mettre en valeur le transport en commun. Des investissements dans ce secteur permettront d'avoir des moyens de transport rapides et économiques. »

Rappelons que les municipalités canadiennes sont responsables de 60 % des infrastructures à travers le pays, mais qu'elles ne possèdent que 8 % des revenus de taxation.

Un gouvernement du NPD entend donc :

  • lancer le Plan Mulcair pour le transport en commun afin de réduire les embouteillages et les temps de déplacement partout au Canada en investissant 1,3 milliard $ par année sur 20 ans pour répondre aux besoins des municipalités,
  • augmenter les transferts directs aux municipalités pour réparer les routes, les ponts et les réseaux de transport en commun ou en bâtir de nouveaux en injectant 1,5 milliard $ annuellement d’ici la fin du premier mandat d’un gouvernement néo-démocrate,
  • collaborer avec les provinces et les territoires pour réaliser des investissements stratégiques tout en respectant les compétences provinciales et territoriales.

À la fin de la quatrième année du mandat d’un gouvernement néo-démocrate, le plan du NPD aura créé 54 000 emplois dans le secteur de la construction, de la fabrication et du transport en commun partout au pays et aura contribué à hauteur de 4,5 milliards $ par année au PIB du Canada.

« Au lieu d’être un partenaire fiable, les gouvernements conservateurs et libéraux ont préféré réduire le financement et alourdir les processus bureaucratiques, a expliqué Mylène Freeman, la candidate dans Mirabel. Au NPD, nous sommes prêts à amener les changements nécessaires pour faire avancer les choses à Mirabel, en proposant un financement adéquat, stable, prévisible et durable pour nos municipalités. »

RECOMMANDÉS POUR VOUS


Publié hier à 18h00

Alerte: les libéraux survivent à un deuxième vote de confiance

Le gouvernement libéral minoritaire a survécu à un deuxième vote de confiance sur le budget, vendredi après-midi, les conservateurs ayant voté contre une motion du Bloc québécois visant à le rejeter. La Chambre des communes a enregistré un vote de 307 voix contre la motion du Bloc et de 30 voix pour. Plus de détails à venir.

Publié hier à 9h00

Loi 2: les spécialistes demandent à la Cour de confirmer l'interprétation du PGQ

Revirement de situation, jeudi, en Cour supérieure à Montréal, alors que la demande de sursis provisoire des médecins spécialistes, qui cherchaient à faire suspendre des dispositions de la loi 2 du ministre Christian Dubé, n’a jamais été abordée. Avant même que ne commence la débat, l’avocat de la Fédération des médecins spécialistes du Québec ...

Publié le 6 novembre 2025

Les accès à la résidence permanente pour raisons humanitaires se resserrent

Le gouvernement fédéral réduit le nombre de places disponibles dans ses programmes de résidence permanente pour réfugiés pour l'an prochain. Le plan actualisé des niveaux d'immigration prévoit 49 000 places pour les réfugiés souhaitant obtenir la résidence permanente en 2026, contre environ 58 000 cette année. Le Conseil canadien pour les ...